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Jean Michel Jarre
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Jean Michel Jarre - L'enfant aux cheveux blancs
L'enfant aux cheveux blancs
Tekst dodał(a): takasee1
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Tłumaczenie dodał(a): brak
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Teledysk dodał(a): Aleksandra0709
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Tekst piosenki:
Il écoute les oiseaux chanter
Dans son transistor japonais,
Il cueille des fleurs en papier
Dans les drugstores trop glacés.
On ne sait pas,
D'où il vient, où il va,
Et s'il chante quelquefois.
Ne trouve rien de bizarre
Dans tous ces néons
Qui clignotent sur le boulevard.
Semble aujourd'hui habitué
A dormir dans le bruit,
A courir dans la fumée.
Il a lu la Bible en secret
Dans une bande dessinée,
Il possède même le monde entier
En cassettes enregistrées.
On ne sait pas,
D'où il vient, où il va,
Et s'il chante quelquefois.
Ne trouve rien de bizarre,
Dans tous ces avions
Qui décollent sans rien voir.
Semble aujourd'hui habitué,
A cette vie de précision
Qui tue peu à peu le hasard.
Les étoiles sont électrifiées,
Le dernier arbre est au musée,
On a fini par goudronner
Même les chemins de la destinée.
On ne sait pas,
D'où il vient, où il va,
Et s'il chante quelquefois.
Ne trouve rien de bizarre
Dans tous ces néons
Qui clignotent sur le boulevard.
Semble aujourd'hui habitué
A dormir dans le bruit,
A courir dans la fumée.
Dans son transistor japonais,
Il cueille des fleurs en papier
Dans les drugstores trop glacés.
On ne sait pas,
D'où il vient, où il va,
Et s'il chante quelquefois.
Ne trouve rien de bizarre
Dans tous ces néons
Qui clignotent sur le boulevard.
Semble aujourd'hui habitué
A dormir dans le bruit,
A courir dans la fumée.
Il a lu la Bible en secret
Dans une bande dessinée,
Il possède même le monde entier
En cassettes enregistrées.
On ne sait pas,
D'où il vient, où il va,
Et s'il chante quelquefois.
Ne trouve rien de bizarre,
Dans tous ces avions
Qui décollent sans rien voir.
Semble aujourd'hui habitué,
A cette vie de précision
Qui tue peu à peu le hasard.
Les étoiles sont électrifiées,
Le dernier arbre est au musée,
On a fini par goudronner
Même les chemins de la destinée.
On ne sait pas,
D'où il vient, où il va,
Et s'il chante quelquefois.
Ne trouve rien de bizarre
Dans tous ces néons
Qui clignotent sur le boulevard.
Semble aujourd'hui habitué
A dormir dans le bruit,
A courir dans la fumée.
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